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Sur le tournage du film Slogan, en 1968, il rencontre Jane Birkin
/dans Cinéma /par Vincent LeblancEn février 1968, Serge avait rencontré Pierre Grimblat qui lui avait fait lire le scénario de Slogan, qu’il a écrit avec Melvin Van Peebles, un Noir américain, parisien d’adoption.
Immédiatement séduit, il accepte d’en être la tête d’affiche. Spécialiste du spot publicitaire, Grimblat désire revenir à ses premières amours, le cinéma (il avait réalisé « Me faire ça à moi » en 1960, « L’Empire de la nuit » en 1962 et « Cent briques et des tuiles » en 1964).
Le film « Cannabis »
/dans Cinéma /par Vincent LeblancEn août 1969, Serge passe quelques jours en Angleterre où Jane tourne Delitto A Oxford, un petit film italien (jamais sorti en France) signé Ugo Liberatore.
A l’hôtel Oxford Bear, sans radio ni télévision, «délivré de toute information parasitaire» comme il le dira plus tard, il jette les bases de « l’Histoire de Melody Nelson » la jeune fille renversée par la Rolls du compositeur alors qu’elle se promène à bicyclette , le premier de ses «albums concepts» dont le douloureux accouchement va se prolonger durant plus de dix-huit mois.
Le premier film de Serge : « Je t’aime moi non plus »
/dans Cinéma /par Vincent LeblancTout près d’Uzès, Serge Gainsbourg réalise pour la première fois un film. Il a recréé un univers sordide couleur de rouille et presque intemporel. C’est dans ce décor monochrome qu’un drame intimiste va se jouer entre trois êtres, un couple d’homosexuels et une femme. Le titre du film est celui d’une chanson à succès de Gainsbourg, « Je t’aime moi non plus ».
Le dernier film de Serge : Stan the Flasher
/dans Cinéma /par Vincent LeblancC’est au Raphael que Serge s’attaque au scénario de Stan The Flasher, le film qui l’obsède depuis quelques mois et qu’il écrit avec en tête l’interprète dont l’image s’est gravée dans son mental, Claude Berri.
Stan, c’était le prénom du personnage joué par Serge dans « Charlotte For Ever ». Stan The Flasher, c’était aussi le surnom de Stan Harrison, son saxophoniste, quand il le présentait sur scène. Résumé, à nouveau squelettique, du concept :
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